Technophile ? Oui, et, plus encore, technofree.

Steve Jobs résumait l’approche d’Apple avec cette formule : « L’important, ce n’est pas ce que la machine peut faire mais ce que je peux faire de la machine ». C’est précisément le sentiment que j’ai eu quand j’ai intégré Agoranet. Et venant d’une agence 360 « traditionnelle », cela change tout. Pour nos clients, pour nous, pour la créativité de nos réponses… et pour votre niveau d’exigence ! Car ici, il est difficile de se cacher derrière son petit doigt techno pour expliquer que « Non, en fait, ce n’est pas possible… Enfin, si… Mais cela présente des risques, notamment budgétaires… ».

La technique n’est jamais un sujet qui passe avant l’idée, le concept… Elle doit juste le servir, de la façon la plus discrète possible. Quand votre voiture est en révision chez votre concessionnaire, la question n’est pas de savoir à quel moment sera utilisé une clé plate, une clé à pipe ou une clé à cliquet mais de savoir que tout sera fait dans les règles de l’art. L’outil n’est pas un sujet, encore moins un problème mais un allié.

En matière de communication, les technologies sont un allié autant qu’un danger car elles peuvent rapidement faire oublier la finalité : le besoin client.

En permanence, de nouveaux outils viennent enrichir les rayons déjà bien remplis des agences et autres studios graphiques. La veille technologique est indispensable. Mais attention à ne pas perdre le fil : cette maîtrise ne doit pas devenir un objet de culte. L’idée n’est pas de s’étourdir à faire des gammes en virtuose mais de mettre en musique la réponse à votre besoin, votre attente.

Prendre le parti d’une expertise pour chacune des technologies existantes n’est plus possible depuis longtemps. Trop nombreuses, trop de nouveautés, trop de temps d’adaptation…
Le chant des sirènes que constitue la fascination pour les nouvelles technologies est à la fois dangereux pour les annonceurs et les agences. Le risque ? L’enfermement : ayant fait le pari de telle ou telle techno, celles-ci veulent rentabiliser leur investissement et l’imposent systématiquement à leur client. Les choses sont alors prises à l’envers et les projets taillés sur mesure pour la solution techno.

S’affranchir, sans les négliger, des contraintes liées à une technologie permet de poser les bonnes questions, ce qui n’est pas la moins bonne manière d’approcher des bonnes réponse…
Ce n’est donc qu’une fois le besoin qualifié que nous nous « câblons » techno en mode open minded. Nous la maîtrisons ? Cela se fera chez nous. Nous ne la maîtrisons pas en mode expert ? Nous recrutons ou nous sous-traitons à l’un de nos partenaires.

Chez Agoranet, nous ne perdons jamais de vue cette vision. Parce que notre vraie valeur ajoutée est dans notre réponse au besoin client, pas dans les outils que nous utilisons. La vraie quête est celle du sens, pas celle de la technologie.

Francisco Igréjas
Project Leader chez Agoranet, agence experte en satisfaction client.
f.igrejas@agoranet.fr

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